Quand je te vois là devant moi,
mes yeux ne peuvent se détacher de toi.
O roi de Pandhari, mes pensées
sont à tes pieds et t'enlacent.
Comme sel et eau mêlés
séparés nous ne saurions être.
Ma vie, dit Toukâ, je l'ai déposée
à tes pieds, comme une offrande.
(Toukârâm)