En revanche, rien n'empêche de mettre un tableau en position de losange. Et c'est étrange car, autant les images de tableaux bien carrés se trouvent par centaines sur le web, autant les œuvres accrochées par le coin restent introuvables. Rien de mieux que ce dessin donc;

La ligne droite va sans détours. Elle est, du coup, un acte métaphysique, mystique. La où l'encre devient invisible, la nature prend le relais et poursuit dans infini. Cela, en théosophe, Mondrian l'aurait parfaitement accepté: une ligne, bien tracée, une ligne initiée, ne s'arrête jamais. On peut la voir encore aujourd'hui, celle là même tracée par Mondrian. Il suffit de bien regarder. Dans n'importe quel champ de vision. (Enfin, jusqu'au 21 mars au Centre Pompidou à Paris pour l'aspect éphémère )
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